L'industrie de la noix de cajou impacte la nature et menace des espèces sauvages emblématiques.
La Côte d'Ivoire produit chaque année 1 million de tonnes de noix de cajou. Cette production réduit les forêts endémiques, dévastent les habitats des espèces et remplacent les cultures vivrières traditionnelles.
Les négociants et les détaillants de noix de cajou doivent collaborer avec les autorités locales, les ONG, les experts universitaires, les coopératives de noix de cajou et les organisations d'agriculteurs pour élaborer et mettre en œuvre un plan d'action national pour la Côte d'Ivoire, afin de briser la monoculture d’anacardiers et restaurer les paysages dégradés. Les domaines d'action prévus sont les suivants :